Titre : On ne voyait que le bonheur
Auteur : Grégoire Delacourt
Éditions : Le livre de poche
Genre : Drame
Tranche d’âge : à partir de 15 ans
Prix : 7,50 €
Nombre de pages : 312
Date de sortie : 20 août 2014
« Antoine, la quarantaine, est expert en assurances. Depuis longtemps, trop longtemps, il estime, indemnise la vie des autres. Une nuit, il s'intéresse à la sienne, se demande ce qu’elle vaut vraiment. Par une introspection sans concession, il nous entraîne alors au coeur de notre propre humanité, lui qui ne s’est jamais remis de son enfance, ballotté entre faux bonheurs et réelles tragédies.
Orchestré en trois mouvements, du nord de la France à la côte ouest du Mexique, On ne voyait que le bonheur explore aussi le pays de l'adolescence. Et montre que le pardon et la rédemption restent possibles en dépit de tout. »
C’est avec plaisir que j’ai reçu ce livre, de la part du site internet lecteurs.com. Je les remercie encore pour cet envoi !
Grégoire Delacourt est un auteur dont j’avais déjà entendu parler car j’avais vu l’adaptation cinématographique d’un de ses livres (La liste de nos envies) et j’avais plutôt bien aimé l’histoire.
Découvrir sa plume m’intéressait et l’occasion c’est présenté quand j’ai reçu cet ouvrage.
Malheureusement, je m’attendais à tout sauf à ça…
A mes yeux, le titre du livre est plutôt poétique et nous donne toute suite envie de découvrir l’histoire ! Je m’attendais donc à découvrir un histoire joyeuse comportant des passages philosophiques. Je pensais que l’auteur allait nous expliquer sa vision du bonheur, comment il le définit. Si c’est ce qu’il a fait, sa vision du bonheur est extrêmement déprimante !
Grégoire Delacourt met en scène Antoine, un papa de de deux enfants. C’est Antoine qui va nous raconter son histoire, à travers des lettres adressées à ses proches comme par exemple son fils Léon ou encore son meilleur ami Frédérick. Enfin c’est ce que j’ai compris car j’ai été totalement perdu au début car Antoine s’adressait à des personnes dont j’ignorais complètement l’identité. Au fur et à mesure, j’ai découvert leur identité et j’ai compris à qui s’adressait l’auteur à travers sa plume mais j’avoue que cette façon d’écrire est assez floue et perturbante pour le lecture, je trouve.
En ce qui concerne l’histoire, comme je vous l’ai dis, elle est très péjorative, dramatique et limite déprimante ! J’avoue que ce genre d’histoire ne me plaît pas trop et j’ai été perturbée par certains passages donc j’ai décidé d’arrêter ma lecture à la moitié.
Je ne conseil donc pas spécialement ce livre. Je ne sais pas si c’est moi qui n’ai pas saisi le sens de l’histoire ou l’intention de l’auteur mais en tout cas ce que j’ai compris ne m’a pas touché outre mesure.
"Le désir de tuer ou de se détruire et de tout détruire autour de soi est toujours doublé d'un immense désir d'aimer et d'être aimé, d'un immense désir de fusion avec l'autre et donc du salut de l'autre."
J'espère que mon avis vous aura plu ou aidé dans vos choix, n'hésitez pas à me signalez en commentaire si vous l'avez lu ! En attendant, je vous retrouve très prochainement pour une chronique sur le Prix Clara 2012.
J'espère que ta prochaine lecture te plaira plus :)
RépondreSupprimerMerci, j'espère aussi :)
SupprimerC'est un livre que j'aime énormément, c'est dommage que tu ne l'aies pas apprécié.. :/ Mais bon c'est sûr que si tu t'attendais à quelque chose de joyeux c'est raté :p!
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